Les prairies et pelouses naturelles sont des écosystèmes de plus en plus rares de fait de l'urbanisation croissante (exemple du puy Montrognon
avec une réduction par 4 du nombre d'espèces d'orchidées), de la déprise agricole et de l'évolution des pratiques agropastorales.

En effet, l'abandon du pâturage des pelouses sèches de plaine entraîne une érosion importante de leur biodiversité.
Ce même phénomène se rencontre au niveau des prairies articielles de moyenne montagne issues du réensemencement
de terres labourées ou de la fumure de prairies naturelles .
Paradoxalement, malgrè l'impact néfaste de ses actions, l'homme est un acteur important du maintien de ce milieu en empêchant sa fermeture.